Une aventure de pêche à la perle dans l’Eau d’Heure
Une nouvelle aventure de la pêche à la perle
Comme à chaque fois, je suis au bord de l’eau de bonne heure pour une nouvelle aventure de pêche à la perle, commençant à bien connaître cette rivière qu’est l’Eau d’Heure près de Charleroi. Les gardons, en règle générale, ne sont actifs que, quelques heures, le matin, et quelques heures le soir. Vous vous demandez pourquoi? C’est vraiment une bonne question. Personnellement, je n’ai jamais bien compris le pourquoi du comment.
On a beau changer de perles pour la pêche du gardon mais rien n’y fait
Quoi qu’il en soit, je sais que je dois être présent dès le lever du jour pour capturer un maximum de gardons en un minimum de temps. Cependant, étant donné que j’utilise très souvent l’épuisette, cela n’est pas si facile d’aller vite. Heureusement, lorsque je pêche à la perle, j’utilise, excusez-moi du peu, du 12/100. Les casses sont assez fréquentes, étant donné que nous sélectionnons les plus belles prises lorsque les poissons sont présents. Le fond de l’eau est encombré de branches et d’autres déchets végétaux. cela qui rend le perlage à travers cela assez difficile.
Confiance et appréhension
C’était encore lors de mes débuts où je me tâtais et essayais de comprendre cette chose super importante qu’est le courant. Mais tout aussi important était d’avoir suffisamment confiance en moi pour n’utiliser qu’un seul indicateurs. Je profiterai de cet article pour vous expliquer comment m’est venue l’idée de ces deux indicateurs . Mais aussi pourquoi j’ai décidé de n’en garder qu’un seul dans le prochain article.
La toute première fois que j’ai utilisée la perle, c’était à Landelies. Je m’en souviens comme si c’était hier. Tout comme ma première capture de gardon à la perle. Comment oublier ces moments. Lors de mes trois premiers lancers à Landelies, je suis resté accroché sur le fond trois fois et j’ai cassé ma ligne trois fois. Cette journée m’a dégoûté et j’ai failli abandonner la pêche à la perle. Je n’y connaissais absolument rien en pêche à la perle.
Le déroulement de mon aventure de pêche à la perle
Lorsque, je suis arrivé au bord de l’eau, j’ai simplement pris mon fond et j’ai laissé couler l’indicateurs sans aucun repère. Cela n’a duré que 10 secondes avant que je ne me retrouve coincé au fond de la Sambre . Idem pour les 2 prochains essais. Déçu de cette expérience de pêche à la perle, il fallait que je trouve un moyen de ne plus rester accroché au fond. C’est à ce moment que je me suis dit qu’il me faudrait un repère pour connaître la profondeur
Mais aussi un autre repère pour savoir où je devais descendre ma ligne, et c’est ainsi que mes recherches ont commencé. Je voyais bien d’autre pêcheurs perler avec une versaille surplombée. Mais j’étais parti avec en-tête cette technique de deux indicateurs.
Mon premier problème résolu
Une fois ce premier problème résolu. Je pouvais me permettre de pêcher partout, même entre de gros cailloux sur le fond. Mais je ne savais pas encore très bien comment manipuler ma ligne, et rappelons-le, j’étais toujours avec ma ligne à moulinet. Cela allait bientôt disparaître de ma vie. Je dois bien avouer. Mon matériel pour la pêche à la perle allait évoluer
Lors de cette sortie de pêche dans la rivière de l’eau d’heure, j’ai pu attraper une bonne cinquantaine de gardons, ce qui était assez honorable. Ce qui était fou, c’est que les autres pêcheurs de l’endroit, qui utilisaient l’asticot, ne prenaient que de petits gardons.
Je souhaite profiter de cet article pour vous inviter à suivre mes prochaines sorties de pêche en consultant un autre blog où les nouvelles sont mises à jour en temps réel. Ainsi, vous resterez informé des dernières aventures au fil de l’eau.
Rejoignez-moi et partageons ensemble cette passion pour la pêche à la perle, où la patience est mise à l’épreuve et où chaque capture est une victoire sur soi-même. Restez connecté pour de nouvelles histoires de pêche enrichissantes ! Retrouvez moi sur facebook