Petite pêche à la perle en sambre
Pêche en terre inconnue sur les berges de la Sambre
Pour répondre à l’invitation d’un ami, je me suis décidé à explorer un secteur de le long des berges de la Sambre pour la pêche que je n’avais pas encore pratiqué cette année.
Je prévois, grâce à la configuration du lieu, qu’il est nécessaire de pêcher à une distance considérable, une contrainte à laquelle je me résous.
Le courant était modéré, le ciel nuageux avec des rafales de vent et une légère pluie.
Un sondage minutieux confirmait mes prédictions : je devrais pêcher à au moins 8 mètres pour trouver une coulée et un fond adéquats. Ce n’est pas la distance que je préfère, mais tant pis, surtout que mon ami pratiquait également à cette distance.
Comme d’habitude, j’ai commencé par quelques coulées à la ligne flottante classique, utilisant un grain de chenevis. Cela m’a permis de vérifier la présence d’obstacles sur le fond et aussi de poissons.
Une Journée de pêche pleine de rebondissements
C’était bon, pas d’accroches intempestives et quelques gardons. Alors, allons-y pour la perle.
J’ai débuté la pêche sur les berges de la Sambre avec indicateurs en utilisant une petite bouillette noire sphérique. Ça marchait plutôt bien, et j’ai enchaîné les captures de gardons. De son côté, mon ami accumulait les touches et les prises de gobies en pêchant en ligne classique avec du blé et du chanvre.
La journée s’est déroulée de manière relativement normale, avec des temps morts d’environ 15 minutes, comme c’est souvent le cas dans la Sambre. Ensuite, le retour des prises.
Les graines ont exercé une attraction sur les poissons, et en fin d’après-midi, j’ai dû pêcher entre deux eaux pour obtenir des résultats, les plus gros spécimens étant pris à ce niveau.
Ainsi s’est achevée la journée. Mon ami avait réussi à attraper des gardons, mais 70% de ses touches et prises étaient des gobies. Pour ma part, le bilan était correct sans être exceptionnel.
Mes prochaines sorties seront dédiées à la France.
À bientôt,
Did.